Le parc de la Lône

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En plein cœur du village, un nouvel espace bucolique a vu le jour, le parc paysager de la Lône. « Et sur le côté, coule une rivière… » pour paraphraser ce superbe moment de cinéma, les cinéphiles nous comprendront… La commune de Méounes-Les-Montrieux est certes bien entourée par la forêt et les sentiers qui y pénètrent, mais nos villages du var aiment reproduire également, dans leurs centres historiques, des lieux de quiétude champêtre. Le service technique a façonné l’aménagement de ce parc, sous la houlette d’un membre du conseil municipal ; c’est sa passion, et son métier au sein du département.

Le résultat est charmant, une élégante passerelle métallique permet l’accès au parc, depuis la place de la Mairie, et un escalier serpente légèrement pour remonter jusqu’à la grand rue qui mène à l’une de nos vénérable fontaines. Le qualificatif de « Venise Provençale », attribué à notre village se justifie donc pleinement, une fois de plus.

Une clôture en ganivelle protège le périmètre de ce jardin, doublée par un portillon d’accès ; nos amis les chiens ne sont pas les bienvenus, même en laisse. Mais leurs propriétaires ne nous en voudront pas, car il ne manque pas d’endroits, boisés, à proximité de ce parc, pour les laisser s’ébattre sans contrainte.

Le cabinet OPSIA, auteur de la conception du projet, a réussi l’exploit de concilier stationnement et aménagements paysagers, sans nuire au paysage. Malgré un accès en voiture presque confidentiel, les Méounais ne s’y sont pas trompés et utilisent totalement ce parc paysager bien souvent complet désormais. Cette initiative pilote, a été réalisée par l’entreprise Société provençale de Paysage (SPP).

Après les plaisirs de la nature, il faut bien aborder le nerf de la guerre ; nous exprimons tout d’abord notre gratitude aux financeurs ci-dessous :

 

La réalisation du projet s’est chiffrée à 250 000 euros HT.

Le Fond de concours de la Communauté d’Agglomération est de 100 000 euros.

Le département nous a octroyé 50 000 euros.

Et la commune a bouclé le financement pour 100 000 euros.

Il faut rappeler l’investissement du service technique, dont la polyvalence technique permet souvent d’éviter un surcoût non négligeable, en cas d’appel à des sous-traitants en travaux paysagers.

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